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Le laser dans la chirurgie réfractive

    De multiples techniques pour opérer les anomalies réfractives au laser se sont développées depuis un demi-siècle environ : - la         est la toute première mais est encore d'actualité

                        - le LASEK est l'ancêtre de la technique du LASIK et n'est plus utilisé

                        - l'EPI-LASIK, une variante du LASEK a lui aussi été abandonné

                        - le Lasik  , qui est la technique la plus pratiquée de nos jours

                        - le smile    , qui se répend de plus en plus aujourd'hui.

 

   Dans tous les cas, l'utilisation d'un laser rend ces opérations beaucoup plus précises qu'autrefois (kératectomie radiaire   ) en robotisant le geste du chirurgien et en augmentant la reproductibilité.

    Le perfectionnement de la technique au laser permet de :

         - minimiser les erreurs de réglages par exemple en diminuant le nombre de lasers utilisés pendant une intervention, une caractéristique du SMILE.

      - optimiser la technique en reliant le laser à des outils d'imagerie. Ceux-ci analysent et préenregistrent les caractéristiques géométriques de la cornée et de l'iris, et détectent les abbérations optiques de l'oeil. Ainsi, toutes les caractéristiques optiques et anatomiques de chaque oeil sont prises en considération.

               

    Un des seuls inconvénients que présente aujourd'hui le laser dans la chirurgie est le coût  de ces appareils (environ 500 000 euros), ce qui rend le coût d'une opération très important (environ 2000 euros par oeil). De plus, ces outils étant en plein développement, ils deviennent vite obsolètes et doivent être remplacés. 

   Ainsi, on ne choisit pas forcément la technique la plus récente : il y a de nombreux critéres qui entrent en jeu quant au choix de la technique. On ne choisit pas la même technique en fonction de l'anomalie réfractive, du nombre de dioptries à corriger, de l'épaisseur de la cornée... Ainsi une opération se prépare avec de nombreux rendez-vous et examens pré-opératoires.

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